Compte rendu de mon essai de la Gladius
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- Pilote 50 cm3
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- Enregistré le : mar. 15 mai 2012 13:06
- Moto : Ducati Mostro 800
- Localisation : Toulouse
Compte rendu de mon essai de la Gladius
Bonsoir,
Comme vous l'avez certainement lu dans ma pres, j'ai actuellement une Monster 800 un peu vieillissante, et je lui cherche une remplaçante. Dans la liste des prétendantes : la Gladius et l'ER6n (avec une petit préférence 'look' pour la Gladius).
Vendredi, je franchis le pas : direction la concess Suzuki (Runaway Bikes à Toulouse). Après avoir rempli un chèque de caution de 900€, me voici au guidon d'une Gladius (non ABS) avec 750km au compteur.
Premier démarrage sans accroc (une fois que l'on m'a précisé qu'il fallait débrayer pour démarrer l'engin). Nous faisons gentiment connaissance ; il faut dire que la belle n'est pas farouche, et la prise en main est facile. Je retrouve tout de suite la bonne sensation du bi-cylindre, bien présent dès les bas régimes.
J'arrive dans une petite série de lacets, je me place sur un filet de gaz. La position de conduite est assez haute (relativement au Monster) et me rappelle ma bonne vieille Fazer. Les lacets s'enchaînent facilement, sans utiliser les bras. La direction est précise, sans mauvaise surprise. Arrivé en haut, je me sens trop en avant sur la selle, comme si j'avais glissé vers l'avant.
Je fais un peu de ville pour rejoindre la rocade. J'en profite pour écouter le moteur (sonorité fadasse) et pour jouer avec les bas régimes aux ronds points. Là, je suis épaté : le Monster cogne là où la Gladius passe.
J'arrive sur la rocade, où je teste l'accélération : un peu en dessous du Monster malgré des caractéristiques (couple max, régime de couple max, puissance max, régime de puissance max) assez semblables : le bruit quelconque, l'absence de vibrations modifieraient-ils mes sensations ?
Il est temps de rendre l'engin. Le commercial me confirme qu'au dessus de 1,75m (je fais 1,8m) la selle haute est nécessaire.
Au final, une belle machine, même si je suis un peu déçu du moteur. Ce n'est pas le coup de foudre ; ce sera peut-être un mariage de raison. Bientôt l'ER6n, pour voir.
Comme vous l'avez certainement lu dans ma pres, j'ai actuellement une Monster 800 un peu vieillissante, et je lui cherche une remplaçante. Dans la liste des prétendantes : la Gladius et l'ER6n (avec une petit préférence 'look' pour la Gladius).
Vendredi, je franchis le pas : direction la concess Suzuki (Runaway Bikes à Toulouse). Après avoir rempli un chèque de caution de 900€, me voici au guidon d'une Gladius (non ABS) avec 750km au compteur.
Premier démarrage sans accroc (une fois que l'on m'a précisé qu'il fallait débrayer pour démarrer l'engin). Nous faisons gentiment connaissance ; il faut dire que la belle n'est pas farouche, et la prise en main est facile. Je retrouve tout de suite la bonne sensation du bi-cylindre, bien présent dès les bas régimes.
J'arrive dans une petite série de lacets, je me place sur un filet de gaz. La position de conduite est assez haute (relativement au Monster) et me rappelle ma bonne vieille Fazer. Les lacets s'enchaînent facilement, sans utiliser les bras. La direction est précise, sans mauvaise surprise. Arrivé en haut, je me sens trop en avant sur la selle, comme si j'avais glissé vers l'avant.
Je fais un peu de ville pour rejoindre la rocade. J'en profite pour écouter le moteur (sonorité fadasse) et pour jouer avec les bas régimes aux ronds points. Là, je suis épaté : le Monster cogne là où la Gladius passe.
J'arrive sur la rocade, où je teste l'accélération : un peu en dessous du Monster malgré des caractéristiques (couple max, régime de couple max, puissance max, régime de puissance max) assez semblables : le bruit quelconque, l'absence de vibrations modifieraient-ils mes sensations ?
Il est temps de rendre l'engin. Le commercial me confirme qu'au dessus de 1,75m (je fais 1,8m) la selle haute est nécessaire.
Au final, une belle machine, même si je suis un peu déçu du moteur. Ce n'est pas le coup de foudre ; ce sera peut-être un mariage de raison. Bientôt l'ER6n, pour voir.