le truc c'est qu'en situation d'urgence on se crispe (déjà arrivé plusieurs fois
) donc on écrase l'arrière (encore une fois , déjà arrivé ) (on est en ligne droite qu'on reste bien d'accord) et c'est à ce moment-là que vous réalisez que le frein arrière ne sert à rien car au lieu de rester bien droit vous vous voyez progressivement partir de travers , alors soit vous bloquez pas l'avant , mais si vous êtes perpendiculaire a la route.... (je vous fais pas de dessin
) donc à part vous mettre au tas ....
alors c'est vrai , le frein arrière permet d’asseoir la moto , d'où l'utilité de s'en servir en courbe
mais une fois que la moto est droite il faut l'oublier ce frein et ne surtout pas l'utiliser car en situation crispé , aller faire comprendre a votre cerveau qu'il doit lâcher le frein ....le cerveau est un animal têtu
et limité en nombre de traitement ,
et oui on a pas de processeur évolutif en plusieurs core made in intel
pourtant ce serait tellement pratique
d'où c'est l'avant qui fait tout et sur lequel on doit se concentrer a 90%(on revient en situation droite
)
les 10% restant iront dans vos appui sur la moto (le réservoir que vous pincez avec vos cuisses) et votre vue
car dans 60% des cas d’urgence, la seule chose qui vous empêchera d’être au tas c'est de trouver une issue qui se libéré pour passer en mode "évitement" d'où il ne faut pas être bras tendu , car bras tendu , l’évitement c'est mort
Mon premier accident, j'avais pas le choix coupé la route quand on est dans l'angle mort du véhicule, impossible à éviter la y a juste à prier : gene: (j'était au milieu de la hauteur du véhicule quand il a changé de direction
Une fois tout remis en place une autre mésaventure, on remonte tranquillement et la un véhicule qui change de voie
coup de chance l'auto que je venais de dépasser à la vue de la connerie de l'autre a pilé ce qui m'a donné un bon espace de manœuvre pas de bol j'étais persuadé qu'il fallait utiliser l'arrière pour optimiser le freinage , j'ai franchement pas eu l'impression de l'écraser pourtant l'arrière a chassé tout de suite , et la guidonnage violent j'ai vu un trou et là j'ai remis les gaz ce qui m'a permis de stabilisé la moto , mais si je devais continuer à freiner je mangeai le bitume grâce à l’arrière.
Conclusion j'ai banni ce frein, (sauf en courbe)
le deuxième accident j'ai excessivement (trop) bien freiné de l'avant ( le gars a admis être persuadé que je finissais sur son capot il avait halluciné que ce ne soit pas le cas
en gros faut je travaille la réception
) , la roue a à peine effleuré la carrosserie de l'auto , je m'en serais sorti si je savais amortir le retour au sol d'un stoppy
Donc je pense sincèrement qu'en cas de freinage d'urgence il faut se concentrer sur le frein avant et oublier l’arrière, il faut juste apprendre a le doser pour ne pas bloquer la roue